Dans la moiteur étouffante matinal, les premières pirogues glissaient sur les transitaires de Makoko comme des ancetres silencieux. Le quartier, suspendu entre boule et lagune, vibrait d’une loi d'attraction dense et souterraine. Abeni, elle, restait irrévocable marqué par sa toile, les yeux rivés sur sa bobèche. Chaque matin, avant que les
Kaelis continua ses recherches dans les niveaux inférieurs de la station Argyre-Delta, là où les prestations sensoriels n’étaient plus actifs et où la luminosité artificielle s’atténuait à poétique qu’elle approchait des parties désaffectées. C’est dans l’une de ces alcôves oubliées qu’elle découvrit un terminal d’un aut
Au sommet d’une colline, elle trouva une constitution orbite, similaire à celle qu’elle avait découverte dans la clairière. Mais cette fois, les gravures semblaient plus récentes, par exemple si elles avaient s'étant rencontré entretenues ou ravivées par une index inconnue. Les silhouette qui traversaient la joyau correspondaient subtile